Promenons nous dans les rues, pendant que le loup y es

†XI. La force† Messages : 23 Date d'inscription : 03/09/2008

Une caléche avançait dans la ruelle, une caléche si bien décorer qu'on pouvait facilement comprendre qu'elle appartenait a quelqu'un de noble. De beau rideau cachant les passagers, le cocher qui portait des vêtements de luxe pour tout "paysan" qui le voyait, des cheveaux splendides, bien entrentenus et sûrement aussi cher qu'une de ses maisons devant lesquel il trottait mollement, aucun doute que la personne qui était installé dans la caléche était une personne de la haute société.

Cette personne n'était autre qu'Ellian Asford De Peyrac, bien évidement, et celle était vêtus, comme toujours, d'une belle robe en soie rouge, des broderies de fleur faite de fil d'or, de la dentelle noir, un décolter dévoilant une belle partie de sa gorge avantageuse hornée d'un collier d'or et de rubis, comme toujours, elle n'avait pas regarder sur le prix que lui avait couté l'ensemble, elle ne regarderait jamais la dessus, elle aimait être la plus belle. La demoiselle n'avait pas peur d'éveillé les jalousies des femmes, si celle ci ce sentait menacer, c'était plus amusant ... On devait craindre une femme qui craignait notre beauté, mais on devait encore plus craindre la femme qui est Belle.

Se remémorant rapidement les différentes visites qu'elle devait effectué dans la journée, elle se demanda si elle ne ferait pas mieux de retourner cher elle a effectuée ses petites expériences personnelles plutôt que de perdre du temps inutilement a aller ici et là rencontrer des courtisans et des courtisannes, elle trouvait ses expériences plus amusante en se moment et se lasser presque de la vie des "hauts", c'était toujours la même chose : intrigue et conflit, attentat et conspiration, cela lasser a la longue.

Soupirant doucement, elle fut surprise lorsque, dans un sursaut, sa voiture s'arrêta soudainement, elle pesta dans sa langue natal et repoussa les rideaux de la fenêtre, essayant de reconnaitre la ruelle.

_ Que ce passe t il ? Demanda t elle avec un agacement qu'elle ne prit pas la peine de dissimuler.

_ Désolé Madame, le passage est bloquer. Avoua le conducteur a priorie embarasser.

Bloquer ? Pourquoi une grande ruelle était donc bloquer ? Aller savoir ! En tout cas, cela réussis a irrité la jeune femme qui fut persuader maintenant qu'elle n'aurait pas dut sortir. Elle était bloqué dans une ruelle et dans une caleche qui, même si elle était la sienne, n'était pas plus confortable qu'un bon divan et rêvé secrétement d'un verre d'eau de vie bien fort, ne serait ce que pour se réchauffer, elle qui était un peu frilleuse.

_ Qu'est ce que vous attendez pour débloquer le passage ? Lâcha t elle irrité alors qu'un claquement de langue suivait la phrase. Vous ne voulez tout de même pas que je sorte pour m'en charger ?

_ Non madame. Répondut le conducteur avec un aire de petit garçon engueuler. Désolé Madame, je vais rapidement arranger cela.

Ellian relacha le rideau et se laissa aller contre le dossier pas particulièrement confortable, elle ferma les yeux, soupirant une nouvelle foi, regrettant encore de ne pas être resté cher elle. Dire qu'elle aurait pus faire tellement de chose cher elle et là, bloquer dans une ruelle minable, elle ne perdait qu'inutilement du temps, c'était plus que ragant ! Elle tâcherait de faire comprendre a son "chauffeur" qu'elle n'aimait pas perdre du temps inutilement et eu envie de le confier a un de ses confrères, mais abandonna vite cette idée, reprenant un aire plus serein.

Elle n'attendit plus longtemps, ce n'était pas sa patience qui avait cédé, juste son envie de bouger, elle se releva et ouvrit d'elle même la portière, relevant légérement ses jupons, elle sauta et atterie délicatement sur ses jambes, le conducteur la regarda d'un aire étonné et légérement affolé, il devait craindre pour lui. La seconde suivant, il avait un aire totalement débousoler sûrement causé par le sourire presque doux qu'elle portait sur le visage.

_ Attendez plutôt là, je vais me dégourdire les jambes, nous avons le temps. Assura t elle avec douceur. Vous n'aurez qu'a m'attendre un peu plus loin.

_ Mais ... Lâcha l'homme en se relevant, voulant l'arrêté.

Elle leva la mains, le stoppant dans son mouvement et, sans plus ajouté un mot, se retourna pour avancer dans la ruelle. Elle voulait se dégourdire les jambes et même si les ruelles ne semblait pas très "sûr" pour une demoiselle de son rang, il n'en était rien : elle était bien plus dangereuse que les plus dangereux hommes du coin, après tout, elle était une membre de Delilah, elle savait se défendre seul et avait plus d'un tour dans son sac et d'un couteau dans son corset.

Un carrosse entièrement noir venait d'arriver dans les rues de Londres. Jamais on avait vu un carrosse d'une couleur aussi sombre et aussi luxueux. Des insignes étaient gravées sur le carrosse mais elles semblaient inconnues aux habitants de Londres. Posséder un tel carrosse... faut-il déjà être assez riche : c'était sûrement une famille riche qui avait fait faire cela pensèrent les gens.

En réalité, ce carrosse est le carrosse royal qui a été refait pour le prince Ludwig pour son périple, selon ses goûts. Et bien sûr, la personne qui était à l'intérieur n'était autre que le prince lui même. Lorsqu'ils arrivèrent devant cette rue complètement bouchée, le conducteur fit signe au prince qu'il était impossible de passer. Celui ci tira le rideau pour observer la rue qui était en effet, remplie de calèches et de cavaliers, puis le ferma.
Il attendit quelques minutes avant de s'impatienter.

- Ce n'est pas possible, un tel trafic en cette période de l'année ! Je vais descendre faire un tour Will.

- Mais ! Excusez moi mon prince mais, ce n'est pas prudent !

- Tais toi Will je sais très bien me défendre. Va immédiatement au manoir avec le carrosse et déposes-y mes bagages.

- Bi... bien mon prince. Je vous laisse.

Il n'allait pas me lâcher lui... Je suis quand même assez grand pour me défendre seul.
Voilà, le prince était seul, lâché dans la grande jungle qu'était Londres... cela faisait quand même une dizaine d'années qu'il n'était pas revenu ici. Ses parents possédant une résidence secondaire ici, Ludwig avait passé une année ici pour découvrir la Grande Bretagne.
Maintenant qu'il était là, il lui fallait trouver une femme digne de lui afin de la ramener au royaume pour l'épouser et se faire couronner. Se faire couronner ? Pas question. Ludwig aime bien trop la liberté. C'est pourquoi il n'hésitera pas à profiter de son séjour car être roi c'est bien trop fatigant et on a pas d'aussi grandes vacances que celles ci.

Sur son passage, les jeunes femmes se retournèrent non seulement à cause de son visage et de son physique mais aussi à cause de son style vestimentaire. En effet, il portait, comme à son habitude, un pantalon plutôt moulant, un manteau noir à plumes style visual et des bottes noires assez lourdes de la marque Doc Martens (HJ: *sbaff* ç_ç). Des vêtements bien inhabituels pour un homme mais les femmes n'en avait que faire et regardèrent Ludwig avec des yeux brillant de milles feux mais aussi avec envie...

Malheureusement pour elles, Ludwig ne semblait pas intéressé... C'est alors qu'il passa à côté d'une jeune femme qui l'intrigua immédiatement et ce, surtout à cause de la taille de sa poitrine. Approximativement je dirai du D... Mais elle était aussi très jolie avec sa robe rouge en soie : elle semblait plutôt riche vu la qualité de son ensemble.
Il s'arrêta près de la demoiselle, baisa sa main et lui fit un sourire charmeur.

- Bonjour mademoiselle, votre beauté m'a ébloui. Pourrais-je avoir l'honneur de vous avoir en ma compagnie ?

Je m'appelle Ludwig, je suis un simple touriste qui visite Londres. Et vous, quel est le prénom que vous portez jolie demoiselle ?

†XI. La force† Messages : 23 Date d'inscription : 03/09/2008

Ellian se demanda vaguement pourquoi tout un tas de fille venait subitement de changé de comportement, elle douta au ce fut a cause d'elle et commença a se demandé si le virus de l'idiotie humaine ne c'était pas abattus sur la communauté féminine de Londre : elles regardaient toutes dans la même direction et glousser en se murmurant quelques mots, les joues rouges. Après une légére analyse, elle se dit qu'elles étaient entrain de sucombé a l'amour, mais tout de même : toute en même temps ?

Se retournant, elle vus la raison de l'agitation de toute ses filles qu'elle jugea idiote et puéril : un homme, un unique homme qui, certes semblait affreusement riche vus sa classe et la qualité de ses vêtements, mais qui semblait ... Comment dire : a la limite du vantardisme, il était d'une extravagance exagérer, enfin, elle pouvait parler elle avec ses cheveux, ses yeux et sa robe qui ne pouvait qu'attiré l'attention, mais lui, il semblait aimé attirait toute les attentions et vus sa beauté, il avait raison ! Pourquoi n'aurait on pas le droit de chercher les attentions alors qu'on était au dessus de tout les autres ?

L'homme s'approcher d'elle et elle se demanda vaguement pourquoi, mais bien vite, cela devenait évident : il était polie, il était de la noblesse et venait sûrement la saluer par ce qu'il avait comprit qu'elle était noble ... Enfin, entouré de paysan, cela ne pouvait être qu'une évidence. Elle le laisse vonlontié lui faire un baisse mains : hé, fallait être folle pour ne pas accepté les attentions d'un homme aussi beau, malgrès ses extravagances. Elle sourit a l'homme, essayant de dissimuler ses joues qui avaient rougit alors qu'elle sentait la chaleur de la mains de l'homme malgrès les tissus des gants.

_ Je m'appelle Ellian Asford De Peyrac. Se présenta t elle avec politesse et toujours aussi souriante. Mais je crains que si je ne vous tienne compagnie, je ne fasse quelques jalouses : votre beauté et votre élégance a éblouie la plupart des demoiselles des alentours.

Et cela l'amusé grandement : toute ses filles qui le regarder et qui n'attendait qu'un seul regard de sa part, qu'une seule petite attention du beau jeune homme, elles auraient sans doute fondus sur le coup s'il leurs avait accorder la moindre attention, malheureusement, et pour le plus grand plaisir d'Ellian, c'était à elle qu'il accordait son attention, elle pourrait voir la réaction des pauvres paysannes totalement igniorer.

Tient, d'ailleurs, a bien y regarder, il n'y avait pas que des paysannes : quelques roturières ou bien quelques autres nobles. Elle se demanda pourquoi il était venus cher elle plutôt que cher un autre, et encore une foi la réponse s'imposa presque d'elle même : la beauté ? Hum, est ce qu'elle n'était pas entrain de se suréstimer ? Peut être que ce n'était dut qu'au hasard, mais cela ne lui aurait absolument pas plus qu'il l'ai salué elle par ce qu'elle était belle : elle était une femme, elle aimait plaire comme toute autre.

_ Vous dites être un simple touriste, mais un "simple touriste" ne serait sûrement pas aussi classe que vous. Avoua t elle franchement. Alors Monsieur Ludwig, où pensez vous que nous puissions aller ?

Ellian Asford De Peyrac ? Une noble comme il le pensait. Une simple aristocrate ne pouvait pas être habillée comme elle... Ca faisait longtemps que Ludwig n'avait pas rencontré une jeune femme à son goût (rappelons que le sujet principal est la poitrine! XD). La jeune femme semblait amusée de voir que Ludwig était venu lui parler... C'est vrai qu'il y a beaucoup d'autres filles autour mais son attention s'était porté sur une jeune femme élégante... et puis s'il devait ramener une femme au pays, une noble serait mieux et créerait moins de problèmes avec le vieux paternel.

Je ne pense pas que vous me laisseriez alors que je vous ai invitée même si vous faites beaucoup de jalouses... Je dirai même que ça vous plaît d'en faire autant Mademoiselle...

Un simple touriste... Oui peut-être un peu trop non ? En effet avec ses habits, Ludwig ne pouvait être un simple touriste. Il se faisait toujours remarquer, peu importe la ville dans laquelle il est... Un peu difficile de passer inaperçu.

Oh oui je suis un touriste qui est juste venu ici pour visiter mademoiselle... Auriez vous besoin de connaître mon identité ? dit-il en riant.

Pas besoin de révéler son identité pour l'instant. Ludwig devait rester discret car sa visite n'étant pas annoncée au Palais de Buckingham, il souhaite à tout prix éviter de s'y présenter. Après tout la Reine a elle aussi des enfants et si jamais elle lui proposait de se marier avec une de ses filles... Ce sera sans commentaires... Sauf si elles ont changé depuis... Haha.

Où désirez vous aller mademoiselle ? J'ai fait repartir ma calèche jusqu'à la maison qui sera ma résidence durant mon voyage. Je suis donc contraint de marcher à pied. Mais cela m'a permis de rencontrer une jeune femme qui possède une gross... euh je veux dire un visage d'ange.

Il mit sa main sur le visage de la jeune femme en la dévorant du regard. Elle avait en effet un magnifique visage et une très belle peau. Il pu alors se rapprocher ne serait ce que de quelques centimètres pour vérifier l'exactitude de la taille de la poitrine de Ellian.
On dirait bien que c'était la bonne taille.
Comme d'habitude, Ludwig ne pouvait se tromper pour se genre de choses.

J'ai entendu dire qu'il y avait un parc assez connu pas très loin d'ici. Que diriez vous d'aller y faire un tour pour éviter tout ce monde ?

» Dans les Bras du Saule Pleureur